Dernières semaines à Mahambo
Première partie:Les divers travaux menés sur les chantiers
Comme nous l'expliquions la dernière fois dans notre article, le grattage des murs de l'orphelinat nous a pris plus qu'une semaine. Nous avons fini notre dernier mur le mercredi dernier. Ce travail nous demandait certes beaucoup de patience et de résistance morale et physique, mais avec notre bonne humeur et notre travail d'équipe nous avons pu être efficaces.
D'autre part, nous avons pu aussi continuer à faire des parpaings sur l'autre chantier. Pour la plupart d'entre nous c'était la première fois que nous découvrions une telle compétence, mais cela ne nous a pas demandé beaucoup de temps pour se familiariser et s'adapter à ce nouvel environnement de travail. Ainsi, chaque matin après notre petit déjeuner à l'orphelinat, nous nous dirigeons vers l'école où nous pouvions entamer nos tâches quotidiennes. A l'heure actuelle, le toit de la cantine est presque fini, et s’annonce être un beau résultat de notre partenariat avec les associations locales !
Troisième partie : C'est la fête à l'école
Le samedi s'est tenu la fête organisée par l'association des parents des élèves de l’E.P.P. Nous avons pu assister au spectacle des enfants Malgaches. Ils ont pu interpréter différents chants traditionnels, danser sur des airs malgaches et nous avons aussi pu participer à danser avec eux à la fin. Nous étions tous très contents de partager avec eux cette journée mémorable.
Le dimanche, c’est repos, et nous en profitons pour nous imprégner davantage du cadre naturel dans lequel nous vivons ! Aussi, nous avons pu récupérer des forces pour attaquer une nouvelle et dernière semaine à Madagascar !

Deuxième partie : Le contact avec les enfants Malgaches
De plus, nous occupons nos journées à donner des cours aux enfants de l'E.P.P ; comme les différentes parties du corps, des cantines, et des leçons beaucoup plus poussées pour les plus grands comme de la lecture, l'apprentissage des mesures mathématiques, etc. La communication peut être quelques fois compliquée avec les enfants Malgaches parce qu'ils ne maitrisent pas beaucoup le français mais nous arrivons quand même à leur faire passer le message. Sans oublier bien sûr l'aide des maîtresses très disponibles pour nous et pour les enfants.